Revue de presse – Juillet 2009


Source Mediscoop

02 07 09

« Schizophrénie : la piste de la génétique »
Le Figaro

Le Figaro fait savoir que « 3 enquêtes publiées dans Nature ont permis de découvrir plusieurs centaines de mutations génétiques en cause dans au moins un tiers des cas de schizophrénie ».
Le journal indique que « la première étude, comparant les gènes de 3 000 malades à ceux d’autant de témoins en bonne santé, a permis d’identifier 30 000 variations génétiques bien plus fréquentes chez les malades que chez les témoins ». (Common polygenic variation contributes to risk of schizophrenia and bipolar disorder, The International Schizophrenia Consortium, Nature, 2009, doi:10.1038/nature08185)
Le quotidien note que la « seconde enquête, exploitant des données concernant 8 014 cas et 19 090 personnes non atteintes, pointe en particulier une zone du chromosome 6 plus particulièrement mise en cause dans cette maladie et connue pour porter des gènes liés à l’immunité et aux infections ».
Le Figaro remarque que « cette association pourrait expliquer comment des facteurs environnementaux (comme des infections) affectent le risque de développer une schizophrénie ». (Common variants on chromosome 6p22.1 are associated with schizophrenia, J Shi et al., Nature, 2009, doi:10.1038/nature08192)
Le journal ajoute que « le consortium SGENE, dédié à la recherche génétique sur la schizophrénie, a également mis en lumière une association significative entre des variations sur les chromosomes 11 et 18 qui pourrait contribuer à expliquer les déficits de concentration et de mémoire de la maladie ». (Common variants conferring risk of schizophrenia, H Stefansson et al., Nature, 2009, doi:10.1038/nature08186)
Le Figaro livre la réaction du Pr Daniel Cohen, qui note que « ce travail est très intéressant. Seule une partie des gènes impliqués sont mis évidence. Ils assurent des fonctions assez variées, comme le développement cérébral, les fonctions cognitives et… ceux du système immunologique à travers une association avec les gènes HLA, qui jouent un rôle important dans la réponse aux infections ».

06 07 09

« Un psychiatre de Bergerac condamné pour viols »
La Croix, L’Humanité

La Croix note en bref que « le Dr Bernard Cosculluela, psychiatre à Bergerac, a été condamné par la cour d’assises de la Dordogne à une peine de 12 ans de réclusion criminelle assortie d’une interdiction définitive d’exercer ».
Le journal rappelle que « 4 de ses anciennes patientes avaient porté plainte pour viol, des faits commis entre 1989 et 1996 ».
La Croix relève que « le procès a montré que le médecin utilisait l’hypnose et l’ascendant que lui donnait son statut pour avoir des rapports sexuels avec certaines de ses patientes ».
Ses avocats « ont annoncé qu’ils feraient appel de la décision », ajoute le quotidien.

07 07 09

« La caféine, nouvelle arme contre Alzheimer »
Le Figaro

Le Figaro aborde la publication, sur le site Internet du Journal of Alzheimer Disease, d’une étude « montrant les effets très favorables du café sur des souris », dans le cadre de la maladie d’Alzheimer.
Le journal note que cette étude « suscite de réels espoirs, même si, bien sûr, les résultats ne sont pas toujours extrapolables de ce rongeur à l’être humain ».
Le Figaro explique que le Pr Gary Arendash, de l’Université de Floride (États-Unis), « s’est procuré 55 petits rongeurs génétiquement programmés pour développer des troubles de la mémoire mimant la maladie d’Alzheimer avec l’âge et les a divisés en deux groupes ».
« Après que des tests ont confirmé que ces cobayes présentaient bien des déficits de mémorisation vers l’âge de 18-19 mois (équivalent de 70 ans chez l’homme), la moitié d’entre eux ont reçu de la caféine dans leur ration d’eau quotidienne (l’équivalent de 8 tasses de café par jour et 14 de thé) tandis que l’autre moitié n’a consommé que de l’eau pure », indique le quotidien.
Le journal observe qu’« au bout de 2 mois, les souris traitées par la caféine ont fait preuve de performances nettement meilleures que les autres lors de différents tests de mémoire. Selon les auteurs, leurs compétences étaient devenues identiques à celles de souris âgées mais sans démence ».
Le Figaro ajoute que « l’autopsie du cerveau des souris a permis d’observer que celles traitées par la caféine avaient moitié moins de protéine béta-amyloïde dans leur cerveau que les autres ».
Le quotidien rappelle que « l’accumulation de cette protéine sous forme de plaques est une des principales lésions histologiques caractéristiques de la maladie d’Alzheimer ».
Le journal indique que « selon certains chercheurs, la caféine restaurerait la mémoire en réduisant certains enzymes indispensables à la production de protéine béta-amyloïde. D’autres estiment que la caféine aurait un effet anti-inflammatoire par le biais duquel ces plaques de protéines diminueraient ».
Le Figaro conclut que « les chercheurs, très enthousiastes, planifient déjà des essais cliniques chez l’homme ».

10 07 09

« Le traitement de la maladie d’Alzheimer bute sur la fracture Nord-Sud »
La Croix

La Croix rend compte du 19ème Congrès international de gériatrie, qui vient d’avoir lieu à Paris.
Le journal note que celui-ci « s’est achevé sur un espoir modéré » concernant le traitement de la maladie d’Alzheimer.
Le Pr Bruno Vellas, du Gérontopôle de Toulouse et président du conseil scientifique du congrès, a ainsi déclaré : « D’ici 4 ou 5 ans, on pourrait voir arriver de nouvelles molécules plus efficaces pour lutter contre la maladie d’Alzheimer. Mais pour cela, il faut impérativement développer la recherche clinique ».
La Croix rappelle qu’« aujourd’hui, les médicaments anti-Alzheimer restent d’une efficacité modérée », et indique que« 91 essais thérapeutiques sont actuellement conduits dans le monde ».
Le Pr Vellas remarque que « le problème est que nous avons du mal à recruter des volontaires. Trop souvent, on hésite à proposer l’entrée dans un essai à des patients âgés avec des troubles de la mémoire. Pourtant, quand on les interroge, les malades sont en général partants, mais c’est souvent l’entourage, dont l’accord est indispensable, qui se montre réticent ».
Le quotidien constate par ailleurs que « ce congrès a aussi permis de mesurer l’écart toujours important entre les pays riches, submergés par ces pathologies du vieillissement, et les pays en voie de développement, confrontés à d’autres réalités ».
Le journal cite notamment Georges Rouamba, du ministère de la Santé du Burkina Faso, qui note que « dans notre pays, nous n’avons aucun gériatre. C’est une spécialité médicale qui n’existe pas. […] Les gens ne vivent pas suffisamment longtemps pour qu’on voie émerger ces pathologies neurodégénératives ».

« Ce médicament antipaludique qui rend fou »
Courrier International, numéro 975

En cette période de vacances, Courrier International publie un article du Daily Telegraph, qui relève que le chlorhydrate de méfloquine, traitement antipaludique « couramment prescrit aux touristes qui se rendent dans des zones infestées, peut avoir des effets secondaires très graves, qui affectent la santé mentale ».
Le quotidien britannique remarque qu’« utilisé tant pour la prévention que pour le traitement de la maladie, ce médicament a permis de sauver des millions de personnes. Des milliers d’autres sont toutefois convaincues qu’il a ruiné leur existence ».
Le Daily Telegraph se penche sur les « témoignages sur les dangers du Lariam, [qui] ne manquent pas et vont du volontaire des Corps de la paix se mettant à voir des araignées géantes à la rédactrice en chef d’un magazine qui souffre de terribles vertiges, en passant par le jeune homme, en parfaite santé, soudainement pris de l’envie de tuer sa femme ».
Le journal note que selon Roche, le fabricant du médicament, « des millions de personnes ont pris ce médicament sans souffrir du moindre effet secondaire. […] Il a également établi une liste de contre-indications parmi lesquelles les états dépressifs, les troubles hépatiques et l’épilepsie ».
Le Daily Telegraph relève que « les révélations sur les effets nocifs du Lariam se poursuivent et ne font qu’empirer »,puis indique que « les scientifiques sont aujourd’hui convaincus que la méfloquine provoque des dommages cérébraux ».

17 07 09

« Attention, se croire malade peut rendre malade »
Courrier International, numéro 976

Courrier International publie un article de New Scientist, relevant que « l’effet «nocebo», moins étudié que son jumeau bénéfique, le placebo, est un phénomène psychosomatique souvent ravageur ».
L’hebdomadaire britannique se penche en effet sur ce « phénomène assez répandu », notant qu’« il est possible qu’un grand nombre de patients subissent des effets secondaires uniquement parce qu’on les a avertis qu’ils risquaient d’en subir ».
« En outre, les personnes qui pensent être sujettes à certaines maladies ont plus de chances d’en être atteintes que celles qui sont convaincues du contraire », poursuit la revue.
New Scientist aborde le cas « extrême » d’un homme qui, dans les années 1970, « apprend qu’il souffre d’un cancer du foie en phase terminale et qu’il ne lui reste plus que quelques mois à vivre ».
L’homme « meurt effectivement quelques semaines plus tard et pourtant les résultats de l’autopsie révèlent que les médecins s’étaient trompés : la tumeur était en réalité minuscule et il n’y avait aucune trace de métastases », relève l’hebdomadaire.
La revue note que « l’effet nocebo s’observe couramment dans la pratique médicale. Près de 60% des patients suivant une chimiothérapie commencent à se sentir mal avant même de commencer le traitement. […] Plus inquiétant encore, l’effet nocebo peut être contagieux. Cela fait des siècles que les médecins ont observé des cas de propagation de symptômes inexpliqués au sein d’un groupe ».
New Scientist indique que « la cause première de l’effet nocebo ne relève pas du domaine de la neurochimie mais bien de la croyance », relevant que « les chirurgiens se montrent généralement hésitants quand il s’agit d’opérer des patients qui sont convaincus qu’ils vont mourir, car c’est souvent ce qui se produit ».
La revue observe toutefois que « les preuves ont beau s’accumuler, il est difficile d’accepter, à l’ère de la raison, que des croyances puissent tuer ».

22 07 09

« L’épaisseur du cortex prédirait Alzheimer »
Sciences et Avenir, numéro 749

Sciences et Avenir aborde les travaux d’une équipe Inserm de Toulouse publiés dans Brain, expliquant qu’« un tout nouvel indicateur, calculé à partir de l’épaisseur du cortex cérébral, pourrait prédire la survenue de la maladie d’Alzheimer, chez un patient présentant des troubles légers de mémoire ».
Le magazine explique qu’« en comparant des IRM cérébrales de trois groupes de sujets de 75 ans, soit sains, soit atteints de TLM ou de MA déclarée, un logiciel a calculé l’épaisseur du cortex cérébral dans les régions du cerveau connues pour être sensibles à la maladie et en a déduit un «index d’épaisseur normalisé» ».
Le mensuel cite Pierre Celsis, directeur de recherche et coauteur de l’étude, qui précise que « chez les individus TLM, qui ont évolué vers la MA, l’IEN avait prédit la neurodégénérescence dans 76% des cas ! Or, on sait que chez les sujets menant une vie intellectuellement stimulante, les mécanismes cognitifs compensent l’atrophie et retardent le diagnostic ».
« L’IEN éviterait donc, pour ces sujets, un retard dans la prise en charge. C’est primordial, même si on n’a pas encore trouvé de médicament vraiment efficace », poursuit le chercheur.

23 07 09

« Bilan positif pour les consultations «cannabis» »
Le Figaro

Martine Perez remarque en effet dans Le Figaro que « l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies vient de publier, dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, les résultats d’une enquête réalisée par Ivana Obradovic montrant que 50% des jeunes gens assidus à ces consultations ont réussi à réduire leur consommation ».
La journaliste indique que selon ce travail, les « «addicts» au cannabis » sont des garçons « dans 81% des cas, âgés en moyenne de 23 ans (26% ont plus de 25 ans, 17% sont mineurs) ».
Martine Perez ajoute que « la très grande majorité consomment régulièrement du cannabis, 2 sur 5 en prenant tous les jours, et la moitié de ceux-là fument plus de 5 joints par jour ».
« Surtout, il apparaît que l’usage quotidien est souvent associé à des motivations d’ordre thérapeutique («pour lutter contre l’angoisse») ou encore à des usages de routine («par habitude, avec un sentiment de dépendance»), mais assez peu à un usage festif ou hédoniste », observe la journaliste.
Martine Perez précise qu’« il apparaît cependant que 30% des consultants renoncent au sevrage après la première séance : il s’agit en général de garçons, demandeurs de renseignements plus que d’aide au sevrage. Pour ceux qui ont persévéré, 50% déclarent au bout de 6 mois avoir réduit leur consommation de cannabis, 47% affirment l’avoir stabilisée et 3% l’avoir augmentée ».
« Les taux de succès les plus importants sont observés parmi ceux venus spontanément ou encore adressés par l’Éducation nationale ou un professionnel de santé », note la journaliste, qui souligne en effet que « la moitié des jeunes ont été adressés par la justice ».
Martine Perez en profite pour rappeler que « les jeunes Français restent les champions européens de la consommation de cannabis », et que « l’usage fréquent de cette drogue a des effets sanitaires non négligeables, notamment psychiatriques, en particulier chez les sujets les plus fragiles ». (Numéro 30 du BEH à télécharger sur le site de l’InVS)

« Le cancer favorise biologiquement la dépression »
Science et Vie, numéro 1102

Science et Vie rend compte d’une étude américaine menée par Leah Pyter et ses collègues de l’université de Chicago, sur une centaine de rats, selon laquelle « des facteurs sécrétés par certaines tumeurs favoriseraient la dépression ».
Le magazine explique que les rats chez qui les chercheurs « avaient induit une tumeur mammaire présentaient davantage de symptômes dépressifs que leurs congénères sains. […] L’expérience a permis aux chercheurs d’attribuer à la tumeur la sécrétion de cytokines retrouvées en grande concentration dans le sang et dans le cerveau des rats malades ».
« Or ces petites molécules produites par le système immunitaire sont connues pour provoquer des symptômes dépressifs », rappelle Science et Vie.

27 07 09

« Explosion des tests de recherche en paternité »
Le Figaro

Le Figaro constate en effet que « près de 4 500 actions visant la filiation sont parvenues devant les tribunaux en 2006. Mais la grande majorité des tests se font de façon clandestine, hors des frontières françaises ».
Le journal explique que « les dernières statistiques disponibles montrent que les «actions en recherche de paternité» (effectuées le plus souvent par les mères) ont augmenté de 25% dans les cours d’appel entre 2004 et 2006, tandis que les «actions en contestation de paternité» (qui peuvent être conduites par les pères désignés d’office, ou par les mères) ont triplé pendant la même période ».
« De plus en plus fréquemment, les parents – supposés ou désignés – cherchent à interroger la science sur la réalité de leur filiation. Les avocats spécialistes de la famille le constatent, notamment dans les grandes villes », continue le quotidien.
Hélène Poivez-Leclerq, avocate parisienne, déclare ainsi être « frappée par le nombre de femmes qui se tournent aujourd’hui vers les tribunaux pour leur demander l’identification du père de leur enfant ».
Le journal relève, entre autres, que « les séparations sont aussi parfois l’occasion de contestations de toutes sortes, des deux parents – par exemple, parce qu’une liaison antérieure est apparue au grand jour ».
« Malgré tout, la quinzaine de laboratoires français ne traitent que la partie émergée de l’iceberg : la grande majorité des tests de filiation se font de façon clandestine, notamment en Espagne, en Angleterre ou en Belgique, où leur usage n’est pas soumis à l’aval d’un juge », observe Le Figaro.
Dans un autre article, le quotidien s’intéresse à ces « secrets de famille traqués en laboratoire », et livre un reportage effectué à l’Institut national de la transfusion sanguine, à Paris, où « techniciens et ingénieurs stockent des milliers d’ADN extraits de traces salivaires et les «font parler» ».

« Une psy bobardée de diplômes »
Libération

Libération note sur une page que « sans avoir aucune qualification, une psychologue de Périgueux (Dordogne) a exercé durant 4 ans, réalisant plus de 400 expertises auprès des tribunaux ».
Le journal indique qu’en mai, Régine L. « a été mise en examen pour «usage de faux documents» et «usurpation du titre de psychologue et de la qualité d’expert judiciaire» ».
Le quotidien observe que « selon ses dires, elle aurait suivi des cours par correspondance. D’après une de ses connaissances, elle aurait arrêté l’école à 14 ans, avant d’exercer la profession de psy, puis de travailler dans une entreprise de taxi ».
Libération relève qu’« un magistrat du département, qui a commandé 2 ou 3 rapports d’expertise à Régine L., parle d’une femme aux «connaissances solides», dont les rapports n’étaient pas «catastrophiques» ».
Le journal remarque que « certains font pourtant part de leur circonspection. Un magistrat explique qu’elle ne travaillait plus pour aucun des juges des affaires familiales depuis 3 ans, mais continuait à exercer au pénal. Un an avant que l’affaire n’éclate, «on avait émis le souhait qu’elle ne soit plus désignée», confirme ce magistrat ».
Concernant les expertises de Régine L, le quotidien cite une « source judiciaire », qui indique qu’« on ne reviendra pas sur les affaires jugées ».
Libération conclut que la femme « encourt une peine de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende ».

31 07 09

La lecture stimule les capacités intellectuelles des enfants

Une étude brésilienne parue dans Pro Fono montre que les enfants qui ne savent pas lire ont des capacités intellectuelles et linguistiques plus limitées que les enfants qui apprennent à lire.
Afin de déterminer l’impact de la lecture sur le développement intellectuel et linguistique des enfants, une équipe brésilienne a soumis plusieurs enfants, sachant lire ou non, à différents tests et exercices.
Les auteurs ont sélectionné pour cela 35 enfants en cours d’alphabétisation qu’ils ont répartis en deux groupes : d’un côté, vingt enfants incapables de lire un seul des 24 mots qui leur étaient présentés et de l’autre, 15 enfants qui pouvaient lire la quasi totalité des mots.
Les résultats montrent que les enfants qui savent lire ont de plus grandes capacités notamment en termes de développement du langage, dénomination rapide, mémoire et conscience phonologique. Ils considèrent comme faciles ou très faciles les exercices de jugement syllabique et de segmentation. La transposition syllabique et la soustraction phonémique sont pour eux des exercices de difficulté moyenne et l’identification phonémique est en revanche considérée comme difficile.
Pour les enfants qui ne savent pas lire, la transposition syllabique, la soustraction phonémique et l’identification phonémique sont tous des exercices difficiles. Seule la segmentation syllabique est considérée comme facile.
Pour les auteurs, cette étude prouve que l’apprentissage de la lecture a un impact direct sur les compétences intellectuelles et linguistiques des enfants et doit donc servir de point d’appui dans l’éducation.


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